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Le billet de L

Le billet de L
  • Les péripéties incroyables et folles d'une étudiante comme les autres, un peu déjantée, beaucoup névrosée, handicapée des sentiments et tellement généreuse qu'elle offre sa vie en journal. Oui oui c'est moi. L.
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18 octobre 2010

18 octobre 2010

Aujourd’hui, j’ai juste eu une grosse envie de partir dans un endroit dépaysant. Juste un week-end, comme ça histoire de se changer les idées. Déjà que j’ai l’impression d’être une mamie, figurez-vous que j’ai mal au dos depuis deux jours et que je me réveille fatiguée depuis au moins aussi longtemps !
Une mamie vous dis-je ! (bien que je n’ai rien contre elles ! Surtout avec nos chères réformes actuelles !).
Bref, sauf que les vacances c’est de l’argent et que l’argent bien jusqu’à preuve du contraire ça pousse pas encore dans les arbres (si tu prétends le contraire, donne moi l’adresse de ton dealer qu’on en parle un peu…) ! Donc mes projets week-end sont un peu compromis pour le moment, et à part lire « introduction à la psychanalyse » de mon grand copain Freudou (ce qui n’est pas dépaysant juste infâme à souhait), je n’ai pas trouvé d’autres activités passionnantes pour le week-end. En un mot comme en cent, je me suis tourné les pouces, gratté l’arrière de l’oreille, j’ai contemplé le plafond, bref, je me suis littéralement fait chier. Tout ça pour commencer la semaine avec le potentiel physique et intellectuel d’une amibe. A moitié morte.

Soit. Rien d’autre à dire sur mon week-end si euphorique. On l’aura aussi compris, les week-ends ne sont pas ma tasse de thé.

Par contre j’ai un message à faire passer. La prochaine fois qu’un non fumeur qui se met à côté de moi alors que honnêtement il y a la place pour deux équipes de football autour, et qui ose se plaindre de ma fumée, je lui fait la prise du cobra royal et c’en sera finit de lui ! Non mais ! Je veux bien être tolérante, comme quoi les fumeurs enfument, puent etc. etc., mais chiotte à la fin, laissez nous vivre, je viens pas me coller sous votre nez proéminent bande de noix de coco ! Je reviendrais pas non plus sur cette tendance récurrente qu’on les gens à se coller à vous malgré l’immense campus présent sous nos pieds, ce doit être un problème de codes sociaux. Ou alors, je suis juste misanthrope. Ou les deux.

Cet article me servant d’exutoire à ma mauvaise humeur, je voulais également dire que je renie toute personne ayant des vacances avant noël. Sérieux. Si c’est le cas et que vous me croisez, attendez-vous à faire face à une bête enragée assoiffée de sang. Non pas moi, Ronny, mon bouledogue. Je l’ai élevé à la dure, c’est un ours quand il n’a pas mangé (croyez-en l’expérience de mes pauvres doigts, désormais je me balade avec des gants en permanence, et je sursaute à chaque coin de couloir…), et il saute sur tout et n’importe quoi avec la force d’un titan… Bon d’accord, c’est pas un bouledogue, et il a plutôt un nom ambigüe qui donne systématiquement envie aux gens de dirent «  C’est un mâle ou…? », ou quoi ? Hein ? Bien sûr que c’en est un, pauvre doudou… Bref, ne me parlez pas si vous avez des vacances. Je soutiens que la violence est prohibé, mais bon on peut pas empêcher certains débordements !

C’est fou ce que je peux m’éparpiller parfois (métaphoriquement parlant, beurk, gros dégueu !), je crois que faire un seul sujet dans un seul billet risque de devenir le nouveau challenge !

Sur ce, mamie va se coucher !


HelL.

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13 octobre 2010

13 octobre 2010

Aujourd’hui mes amis, je vous écrit du fin fond de mon lit une écharpe aussi chaude qu’un supporter PSG à un match PSG/OM enroulée autour du cou (ben oui pas le pied gros malin!), et mon humeuromètre (quoi ça existe pas ? Ben je l’invente tiens !), au plus bas.

Oui, malheureusement mon petit (tout est relatif) corps est tout malade, et ma journée a été tout sauf excellente.
D’abord j’ai commencé à 9h. Et ça c’est pas humain pour mon besoin de sommeil avoisinant celui d’un lémurien. Ensuite, ben j’en ai marre que les gens y fassent rien qu’à briser les illusions de nous pauvres, pauvres petits étudiants plein d’espoir !
Bien sûr qu’on se doute que pôle emploi a été créé pour nous, bien sûr qu’on sait que tous nos efforts risquent d’être réduit à néant à cause d’un crétin président de jury ! Mais mince à la fin, un peu d’espoir que diable ! Un peu d’optimisme !! Et c’est moi qui dit ça, c’est pas peu dire !

Bien sûr je ne parle pas de la SNCF. Quoi une bonne cause ? Oui ben mon estomac qui s’auto-digère est également une bonne cause ! Et puis ils en trouve toutes les semaines des bonnes causes à la con pour gréver (oui je l‘ai inventé aussi)! Je déteste être collée à tout ces gens inconnus qui transpirent tel un taureau en rut, et qui vous soufflent leur haleine fétide dans l’oreille. Kss rien que d’y penser j’en frissonne…ah moins que ce ne soit la fièvre. Possible aussi.

Soit, l’inspiration n’est pas terrible aujourd’hui, et peut-être que je ferais mieux de m’arrêter là avant de délirer plein tube sur des sujets idiots tel que la température idéal pour une sieste dans les calanques (oui c’est un sujet, pourquoi ça n’en serait pas un ? Hein ? Hein ?? Venez pas me chercher hein…).

Je vais me shooter aux antibiotiques pas automatiques et on se revoit plus tard hein !

Ciao

HelL.


P.s: en même temps on était un 13...

12 octobre 2010

12 octobre 2010

Aujourd’hui, ma décision a été fatidique. Elle est tombée tel un couperet. Je vais faire un régime. Oh ne riez pas bande de poulets décérébrés, je sais bien ce que j’en ai dit sur mon premier billet, mais ça ne signifie pas que cette fois je n’arriverais pas à m’y tenir ! Comment ça je viens d’engloutir un cookie ? Tss ce monde devient n’importe quoi, des espions à tout les coins de cuisine !

Bon d’accord tenir cette résolution va être difficile. Oui j’avoue tout les dimanches je dis « Demain je fais un régime », et oui, je sais, il ne dure pas longtemps, même si soyons honnêtes, entre nous…24h, c’est quand même un laps de temps non négligeable ! Non ? Bon…

Quoi qu’il en soit, l’électrochoc à été à ma consultation annuelle chez le médecin. Le « mettez vous sur la balance, la dernière fois j’avais noté: ( nombre inconnu que vous ne saurez jamais j’ai quand même un minimum d’amour propre !) », puis… « ah oui quand même, enfin je veux dire… », non c’est bon, ne vous fatiguez pas en excuses à rallonge j’ai compris le principe: moi plus manger, moi faire sport. Beaucoup.

Tout ça pour dire, finit les sandwich rapides à la fac, finit le goûter avec du chocolat, d’ailleurs finit le goûter tout court.  Et puis, mes copines sont trop choupi trognonnes quand elles me disent « non mais pas du tout, moi j’allais te demander si t’avais pas perdu du poids ! » (ouais je sais on a les mêmes copines et désolé de briser vos illusions les filles mais oui, nous sommes toutes aussi hypocrites même si c’est parce qu’on s’aiiiime et que oui, l’amour rend aveugle. N’empêche c’est quand même du mensonge !), mais malgré cette fabuleuse gentillesse j’ai bien vu que mon tour de cuisse avait bien besoin d’être réduit !

Mon plus gros soucis étant que je saute comme un lapin devant une carotte (sans jeux de mots) dès que je vois une de ces saloperies du genre viennoiseries, cookies (hum okay j’avoue pour tout à l’heure…), ou autres gourmandises du même acabit. Alors oui, ça va être dur de me restreindre, oui le sport hebdomadaire va me tuer à petit feu c’est sûr (aussi sûr que ces saloperies de cigarettes), mais je m’y tiendrais coûte que coûte. Promis.

Bon aller un petit tour à la piscine. Comment ça on y va à pieds ? C’est un scandale !
Promis mais…demain !

HelL.

12 octobre 2010

22 août 2010

Je ne suis pas prétentieuse au point de penser égoïstement que raconter ma vie est intéressant pour quelqu’un, néanmoins, étant une névrosée, et une angoissée compulsive (oui comme les acheteurs -ce que je suis également !), je ressens le besoin quasi vital de faire part de mes pérégrinations à n’importe quel quidam. Sauf que je ne souhaite pas faire « radio café » et parler de moi réellement à n’importe qui (exemple je ne veux pas, que ma mère tombe sur ces lignes , ce qu’elle serait bien incapable de faire puisqu’elle maitrise aussi bien l‘art de l‘informatique que je maitrise celui du régime, c’est dire !), j’ai décidé de me confier…à un lectorat anonyme.

En ce dimanche 22 aout 2010, retour de vacances (comme pour beaucoup de français ce dont tout le monde se fiche, même moi), je ne m’étais pas sentie aussi seule depuis longtemps. Evidemment que larguer son copain n’est pas la meilleure des idées pour éviter la solitude et la morosité des dimanches soirs ! Seulement je suis pour l’honneteté, et je préfère un bon dimanche soir pourri comme on les déteste, que rester avec quelqu’un , uniquement par désir d’être deux. Ce que je ne pense pas être capable de faire. Etre à deux je veux dire. S’occuper de moi (de mon mental surtout), est un boulot à plein temps, et moi-même j’ai déjà du mal toute seule, alors devoir être présent pour quelqu’un, cesser d’être égoïste (même s’il ne faut pas non plus croire que je suis égocentrique et narcissique au possible -quoique décrire sa vie pour que d’autres la lisent est déjà un bon exemple de nombrilisme avancé), tout ça est trop contraignant.

Sauf que mon incapacité à gérer un couple ( le mien en l’occurrence), n’est pas le sujet actuel. Non, puisque ma solitude pesante aurait pu connaître une fin glorieuse, noyée dans un mojito frais et des bavardages incessants de nanas. Sauf que, celle qui aurait du être ma compagne de soirée a finit par décommander. C’est en voyant mon mojito et ses feuilles de menthe s’éloigner de mon esprit que j’ai cru défaillir. Même mes efforts les plus vains (appeler ma meilleure copine par exemple) ont été tués dans l’œuf (elle mangeait, et devait me biper, ce que j’attends depuis…enfin non je n’attends plus j’ai ma fierté quand même -même si, effectivement, elle se fait toute petite quand je vois mon portable émettre la moindre petite vibration…).

J’ai même essayé d’aller sur un célèbre site de réseau social, mais comme le mien de réseau est assez inexistant, j’ai du me résoudre à mon plan de secours déprime/solitude: l’essayage d’escarpins. Rien de tel pour vous remettre en veine. Le problème, c’est que chaussures à talons ou pas, j’ai tout de même finit ma foutue soirée seule, sur mon lit à écrire ma vie pour une bande d’inconnus (sans vouloir vous offenser).

La conclusion de ce billet étant simple, il faut avoir un grand réseau social, ou alors ne pas larguer son mec !


HelL.

12 octobre 2010

Bienvenue

Le principe est simple cher lecteur, je propose tu disposes. Bonne lecture.

HelL.

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